Une heure du matin,un croissant de lune navigue tel um moliceiro dans le bleu profond de la voie lactée,pendant,que dans le silence d'une cave à trois pieds sous terre,le crissement d'un crayon bille deroule paresseusement sur la blancheur d'une feuille,l'écume ondulante d'une vague inspiration.
Naufragées de la nuit,cet ocean de mysteres et melancolie sans ports et sans abris,les mots immergent au gré des courants comme des épaves à la dérive isolées dans le neant . A la recherche d'une bouée qui les delivreraient de cet angoissante atraction qui les aspirent vers les profondeurs opaques ou git l'imagination, dans un dernier élan de survie dans ma memoire la lumière se fit,celle de quelques phares de mots enrichis,des phares ou les pluriels sont singuliers et qui nous eclairent le jour et la nuit.
Merci à "Rabiscosegaratujas" et "Alfarobeira" et encore " O Bairro do Amor" et puis "Bicho Bravo" et bien d'autres aux horizons infinies.......
Os números de 2010
Há 11 anos
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ResponderEliminarUma inspiração de travo indubitavelmente baudelairiano. Que a alegria da aventura da escrita te traga também o sol, a brisa, a espuma e o azul salgado entrecortado por gaivotas ruidosas.
ResponderEliminarUm beijo do Reino dos Algarves à babujinha plantado para esta margem onde gosto de aportar!